« L’Homme a la possibilité non seulement de penser, mais encore de savoir qu’il pense ! c’est ce qui le distinguera toujours du robot le plus perfectionné. » Cette citation du professeur d’Histoire scientifique Jean Delumeau montre qu’il sera toujours aisé de distinguer le robot d’un homme, mais souligne également que la ressemblance de plus en plus grande des deux a déjà commencé à nourrir des inquiétudes. Les robots font partie de notre quotidien, ils sont de plus en plus performants, utiles, humanoïdes. Ils suscitent autant d’admiration que de craintes. Les robots suivent également les progrès de l’intelligence artificielle, ils sont de plus en plus liés, les robots sont de plus en plus intelligents et autonomes. Ils peuvent constituer pour l’homme, une révolution intellectuelle, une aide incontournable (partenaires médicaux de pointe), un boost pour la compétitivité… mais aussi susciter des angoisses et des menaces.
Cette réflexion peut nous amener à nous demander si:
La robotique qui tire ses racines de l’intelligence artificielle a-t-elle les ressources nécessaires pour remplacer les actions de l’homme ?
I. L’évolution des robots équipés de l’IA
A. Des débuts compliqués pour l’IA
Le concept d’une intelligence robotique nait au début du XXème siècle, il s’agit au début d’un concept qui désigne des machines ayant une apparence humaine. Elles sont capables de réaliser des actions pour remplacer l’homme. L’intelligence artificielle reste plusieurs années au stade de fiction et d’imaginaire. Ce n’est qu’à partir de la Seconde Guerre Mondiale que les nouvelles avancées technologiques vont être mises à profit pour développer ce secteur, ainsi en 1943 le premier neurone artificiel est créé.
Les premiers moments de l’intelligence artificielles apparaissent en 1950 avec le test Turing. Ce test imaginé par le mathématicien Alan Turing consiste à faire deviner à un homme à l’aveugle qui d’un robot ou d’un autre homme lui parle. Cela est donc un début de la robotique intelligente : les robots sont désormais capables d’imiter les hommes, il reste alors à créer des programmes destinés à imiter la capacité humaine à résoudre des problèmes sans l’aide de l’homme.
L’intelligence artificielle dans le domaine de la robotique se développe plus particulièrement aux États-Unis et les avancées s’accélèrent dans les années 1960 où plusieurs programmes et automates furent crées. Le « Dendral » est inventé en 1965 et il est capable de copier les capacités d’analyses et de raisonnement comme un expert d’un domaine bien précis comme la physique. On peut également penser par exemple au « chatbot ELIZA », un programme interactif qui parle anglais et qui est capable d’être soumis au test de Turing.
Dans les années 1970, on assiste au premier ralentissement de la recherche malgré les investissements de grande envergure, ce sont plutôt les difficultés techniques rencontrées qui forment cet « hiver de l’IA ». Les attentes des investisseurs ne sont donc pas atteintes et les investisseurs se retirent.
La fin de l’hiver arrive dans les années 1990 avec le début des recherches sur les voitures autonomes, mais la recherche reste assez faible et les recherches sont plus axées sur les ordinateurs plus puissants comme Apple. Même l’engouement pour les systèmes experts (les logiciels capables de raisonner grâce à la base de données préenregistrées sur un domaine précis) perdent en vitesse, car les avancées ne vont pas aussi vite qu’espérées. On assiste cependant au développement important des « chatbots » mais aussi d’ordinateurs dotés d’intelligence artificielle. Pour la première fois un ordinateur bat un humain dans un jeu d’échecs cela grâce à la puissance de calcul.
Un nouveau tournant apparait au XXIème siècle, la technologie commence à être accessible au public et le développement des robots est important. Même au grand écran, les films semblent redonner envie au public de s’y intéresser et de redonner une place dans l’imaginaire collectif. Les assistants virtuels comme Sire, Google Home, Alexa se développent également fortement depuis que les grands groupes comme les GAFAM rentrent dans la course aux investissements et à la recherche.
B. Les usages des robots humanoïdes dans notre quotidien
Désormais, l’innovation robotique et l’intelligence artificielle sont de pair. C’est pour cela que l’on observe de plus en plus de projets de robots humanoïdes au service des Hommes. En effet, avec l’essor de technologies telles que les voitures autonomes et les drones, il est évident que nous sommes entrés dans une phase de développement rapide et de production de systèmes de navigation autonomes et indépendants. Nous en sommes désormais dépendant au quotidien.
Les nouveaux systèmes actuels sont remarquablement fiables dans les environnements auxquels ils sont destinés, les robots développés et produits par des sociétés comme Boston Dynamics ont prouvé que la navigation autonome peut être efficace même sur des terrains imprévisibles et incertains. Effectivement, le robot Atlas de Boston Dynamics fait désormais preuve d’agilité, avec sa forme humanoïde il réussit à réaliser des saltos arrière. On peut alors imaginer ce genre de robot se rendre dans des endroits hostiles à l’homme pour prélever des échantillons d’environnement. Ou plus concrètement, il est possible de prendre l’exemple du robot humanoïde imaginé par Tesla : Tesla Bot. Présenté le 19 aout 2021 par le PDG de Tesla, Elon Musk, ce robot humanoïde a pour objectif d’effectuer les tâches répétitives, dangereux et ennuyeuse de l’homme. Tesla Bot est à la base équipée de la même intelligence artificielle (IA) que les véhicules Tesla, développer pour réaliser un autre éventail de tâches. On peut donc l’imaginer dans plusieurs secteurs d’activités, comme le commerce, l’hygiène ou encore la logistique.
D’autre part, il y a les robots humanoïdes équipé d’IA qui sont déjà bien ancrés dans le quotidien de certaines professions. Premièrement, il y a le robot Pepper, ce petit robot humanoïde a été présenté en 2014, il est capable de lire les émotions humaines grâce à la reconnaissance des expressions faciales humaines et du ton de la voix de son interlocuteur. Pepper est utilisé dans des restaurants, des établissements médicaux, des banques ou encore dans un aéroport, comme au Canada il est présent à Montréal afin d’accueillir les voyageurs, proposer des menus et des recommandations. Un autre exemple de son utilisation est l’occupation du post de réceptionniste dans des bureaux au Royaume-Uni. Il est capable d’identifier les visiteurs, d’envoyer des alertes pour les organisateurs des réunions et d’organiser la préparation de boissons. Pepper est capable de discuter de manière autonome avec des clients potentiels. Ce petit robot a pour but de faciliter les relations entre individus, on peut donc le rapprocher d’un autre robot humanoïde dans cette fonction : Roméo. Ce robot utilisé par l’association Autisme Sans Frontières 78 Tracer Son Avenir aide les enfants atteint d’autisme d’apprendre à s’exprimer, s’ouvrir aux personnes autour de soi. Ce robot peut-être rassurant car il n’exprime pas de jugement et favorise la prise de confiance de l’enfant en soit et envers les personnes qui l’entoure.
Il y a aussi des robots plus connus du grand publique comme les robots serveurs en Corée du Sud. Ces robots ont été de plus en plus utilisés avec la crise sanitaire de la Covid-19 ; Ils permettaient de réduire les contacts entre les personnes et de réduire la charge de travail du personnel.
Certes, les robots humanoïdes commencent que doucement à être présent dans notre vie quotidienne. Malgré le fait que ces robots humanoïdes engendrent de la méfiance à leurs égards. En effet, ils sont perçus comme des objets non digne de confiance et qui entraine des licenciements. Cependant, ces robots sont utiles pour remplacer les travailleurs dans leurs tâches difficiles, ingrates et qui sont répétitives. De plus, durant cette crise sanitaire, ces intelligences artificielles ont permis de réduire les interactions sociales qui entraine la dispersion du virus.
II. L’aspect légal et éthique des robots humanoïdes
A. L’Intelligence artificielle et le droit des robots
Parties prenantes de notre système de travail, pourtant nouveaux venus dans nos quotidiens, mais définitivement implantés dans notre économie, les robots humanoïdes via l’intelligence artificielle sont au cœur de tous les débats. Ils suscitent interrogations et commentaires et leur omniprésence nourrit à la fois fascination et crainte.
Discours dithyrambiques de la part de nombreuses entreprises, l’avenir prometteur de ces robots est bel et bien sujet de controverse dans le droit. Le droit des robots humanoïdes n’est pas encore construit. En effet, le rapport entre l’intelligence artificielle et le droit restent un sujet houleux, voir sensible qui soulèvent de nombreuses questions juridiques et de sérieuses interrogations éthiques qui seront plus détaillées dans la suite de l’article.
L’incipit des lois imaginées sur les robots nommées « Les Trois Lois d’Asminov » sont formulées par l’auteur de science-fiction dans son œuvre célèbre I, Robot :
« Loi Zéro : Un robot ne peut pas porter atteinte à l’humanité, ni, par son inaction, permettre que l’humanité soit exposée au danger ;
Première Loi : Un robot ne peut porter atteinte à un être humain, ni, restant passif, permettre qu’un être humain soit exposé au danger, sauf contradiction avec la Loi Zéro ;
Deuxième Loi : Un robot doit obéir aux ordres que lui donne un être humain, sauf si de tels ordres entrent en conflit avec la Première Loi ou la Loi Zéro ;
Troisième Loi : Un robot doit protéger son existence tant que cette protection n’entre pas en conflit avec la Première ou la Deuxième Loi ou la Loi Zéro. »
Les Trois Lois d’Asminov
La raison principale de la création de ces trois lois de la robotique reste toutefois d’ordre littéraire. Cependant, ces lois ont inspiré le Parlement, notamment sa Résolution du 16 février 2017 contenant des recommandations à la Commission concernant des règles de droit civil sur la robotique (2015/2103(2)). En d’autres termes, pour ce domaine qui est en perpétuel évolution rapide les députés européens ont souhaité un cadre législatif. L’objectif premier est finalement « d’exploiter pleinement un potentiel économique, tout en garantissant un niveau standard de sûreté et de sécurité ». Les grands enjeux de la robotique et de l’intelligence artificielle sont des défis à en devenir ainsi il est important de pointer les impacts éthiques économiques, sociaux environnementaux mais également juridiques.
Force est de constater que certains robots ont causé des dommages. Il est vrai que leurs ressemblances troublantes avec les humains ne leur confèrent cependant pas le même statut légal que nous. Bien qu’ils soient prodigieusement plus fort que nous dans certains domaines comme l’accomplissement de tâches, la minutie ou encore la précision, ces robots restent dénués de sentiments. Et cela s’est d’ailleurs retranscris dans leur processus décisionnel qui sont formalisés et non intuitifs. Il convient ainsi d’aborder le sujet de leur statut juridique et de leur responsabilité civile. En effet qui indemnise les accidents causés par les robots ? Quelles sont les personnes fautives dans ces cas précis ?
Le robot est un objet de droit puisqu’il est une chose d’un point de vue juridique. Seul un sujet de droit peut engager sa responsabilité, le robot, en tant qu’objet de droit ne peut pas être responsable des dommages qu’il occasionne. Tout naturellement, c’est une personne morale ou physique qui doit répondre des dommages causés par le robot et qui indemnise les victimes (soit le fabricant, soit le propriétaire). Quel paradoxe lorsque l’on sait que ces robots sont toujours pensés de manières à ce qu’ils ressemblent le plus aux humains. Ce développement des robots aujourd’hui pose une réelle question de responsabilité civile en robotique. Le cadre juridique en vigueur ne suffit plus. Ces robots sont de plus en plus autonomes et capable d’auto-apprentissage il est ainsi impossible d’imputer la responsabilité à être humain finalement.
Pour autant des cas de robots comme le robot Sophia de Hanson Robotics s’est vu recevoir la nationalité saoudienne dans le cadre du forum économique Future Investment Initiative à Ryad. Mais il convient de nuancer et d’ajouter que ces initiatives sont sans portées juridiques.
Pour conclure, bien que certains avocats comme Alain Bensoussan souhaite conférer des nouveaux concepts aux robots comme « la personne robot » ou encore des projets d’acquisition de statut de « personne électronique », le droit des robots soulève des questions inédites. Comment des « personnes robots » et des « personnes humaines » pourraient vivre ensemble ? Pourrons-nous continuer à considérer un robot comme simple outils alors qu’il est de plus en plus autonome ? Ce qui est sûr c’est qu’actuellement il n’y a aucun robot qui possède de libre arbitre, la conscience de soi ou encore le sentiment d’identité personnel. Mais même si de nombreuses voix mettent à l’index l’idée de faire du robot autonome une personne, c’est un sujet qui demandera dans les années à venir une certaine évolution, dans quel sens ? Seul l’avenir nous le dira.
B. L’acceptation des robots humanoïdes par la population
Le développement rapide de l’intelligence artificielle a indéniablement posé de nouvelles questions éthiques. En effet, elle trouve son application dans un nombre croissant de secteurs et on se trouve maintenant aux frontières de l’humanité. L’idée de l’intelligence artificielle n’est pas de devenir totalement autonome ni de remplacer l’intelligence humaine, mais il faut s’assurer qu’elle se développe selon une approche humaniste. Les nouvelles perspectives offertes par l’IA est très attirante mais suscite aussi des bouleversements psychologiques et sociaux.
Prenons ici l’exemple de L’arrivée des robots sexuels. Il est déjà possible de créer une ou un petit ami virtuel grâce à des applications, tout est personnalisable, du physique jusqu’à la personnalité, pour ensuite construire une relation avec sa création. L’objectif des créateurs de robots sexuels est d’implanter cette intelligence artificielle dans les poupées sexuelles, pour que certaines personnes puissent avoir un ou une petite amie dans la réalité.
Dans la nouvelle question sociale sur l’égalité des genres, ce développement des robots sexuels n’aide pas et pose des problèmes éthiques. Ce sont presque uniquement des femmes qui sont créés, et cette industrie est principalement destinée à un public masculin. Les humains vont progressivement nouer des liens avec des machines, ce qui pose des questions éthiques d’un point de vue psychologique et social. On peut imaginer que les interactions sociales vont diminuer car un nombre croissant de personnes, ne ressentira plus le besoin de faire des rencontres ou d’avoir une vie sociale autre que celles qu’ils ont avec leur robot. Cette situation pourrait créer des troubles psychologiques telle qu’une perte de confiance en soi dû au fait que ces poupées seront idéalisées à la manière des actrices pornographiques aux formes parfaites. Cela mènera indéniablement à la baisse de sensibilité et d’attrait pour les autres êtres humains.
Le graphique ci-dessous montre l’importance de l’apparence humanoïde des robots sexuels pour les humains en fonction de leur âge, les groupes sont clairement séparés en deux entre ceux qui souhaitent une apparence humanoïde, et ceux qui ne souhaitent pas répondre.
Pour le reste des interactions sociales de ces personnes, elles pourraient se retrouver troublées, en effet, prendre des habitudes avec un robot qui est avec une personne uniquement pour satisfaire ses plaisirs sans se soucier de ceux des autres conduira à des troubles du comportement. L’arrivée de ces robots sexuels sexualise beaucoup les femmes et donne l’idée aux hommes qu’elles existent uniquement pour satisfaire les plaisirs masculins. Pour certains professeurs en éthique, avoir un robot sexuel reviendrait à avoir un esclave et que cela perpétue l’idée que les femmes sont des objets. Cette technologie pourrait aussi devenir très dérangeante si certains consommateurs demandent la création d’un robot sexuel avec les traits d’une personne décédée, voire qui existent encore. Beaucoup de personnes seraient dérangées de savoir que quelqu’un ait une copie de soi chez lui, et qu’il en fait ce qu’il veut. Même si l’idée peut venir d’une offre d’aide pour les personnes qui n’ont pas la possibilité d’avoir des relations intimes, ces pratiques risquent fortement de créer des personnes insociables, aux comportements dérangés.
La démocratisation de l’intelligence artificielle et sa présence de plus en plus abondante dans notre société amène désormais à une acceptation de la population quant à l’utilisation de cette nouvelle technologie. Nous pouvons distinguer deux aspects de l’acceptation de la population, l’acceptation publique et l’acceptation privée. Concernant l’acceptation publique, nous pouvons constater que la société dans sa globalité accepte que l’IA traite des tâches qui sont normalement comprises et effectuées par l’Homme, le risque est ici que l’Homme perde son bon sens, son jugement par rapport à la décision de l’IA. En effet nous pouvons prendre l’exemple des voitures autonomes telles que les Tesla qui en cas d’accident vont prendre une décision pour l’éviter même si cela doit coûter des dommages collatéraux que le conducteur ne souhaite pas ou des décisions qu’il aurait prises autrement. Le problème est le même avec les IA qui sont utilisées dans les tribunaux pour trancher des affaires, sont-elles mieux placées qu’un juge pour rendre une décision ? Sont-elles capables de ressentir une situation avec des sentiments et non seulement avec des décisions binaires ? Sur le plan éthique l’IA prend une place dans certain domaine qui selon certains observateurs devrait rester le seul jugement des humains et non pas être contrôlé par des robots.
Concernant la partie de la vie privée, les IA sont une aide et facilité la vie des Hommes, elles rendent certaines tâches plus rapides et moins contraignantes, cependant pour se faire les IA procèdent à des récoltes des données privées qui sont envoyées aux entreprises qui produises ces mêmes IA. Ici se pose une question éthique sur le respect de la vie privée et du traitement des informations, où les particuliers ne sont désormais plus les seuls détenteurs de leurs données.
Pour finir…
Nous l’avons vu précédemment, la robotique équipée liée a l’intelligence artificielle à connu des débuts compliqués et laborieux. Si le concept naît au début du XXe siècle, ce n’est que dans les années 1960 aux États-Unis que l’IA dans la robotique va commencer à se développer.
Aujourd’hui, la robotique équipée d’IA s’est largement développée et les projets se multiplient. Les robots sont de plus en plus intelligents, fiables et indépendants.
Des robots serveurs en Corée du Sud en passant par le robot à Atlas à l’agilité bluffante jusqu’au projet actuel du « Tesla Bot », nous nous sommes légitimement demandés si ces robots pouvaient substituer les actions de l’homme.
Si l’IA est aujourd’hui ultra développée et les moyens des entreprises sont colossaux, des barrières subsistent. Un des premiers questionnements concerne le processus décisionnel formalisé et donc peu intuitif des robots. Malgré leurs prouesses » surhumaines » dans l’exécution et la rapidité pour certaines tâches, ces IA ne sont pas des êtres dotés de sentiments. Cela peut poser un problème en particulier dans certains domaines où le côté humain et la notion de libre-arbitre ont une importance dans le processus de décision.
Des questionnements éthiques pourraient aussi ralentir la place prise par la robotique. Que ça soit dans le domaine public, avec les robots sexuels, mais aussi dans le domaine privé avec la question de la protection des données personnelles. À cela, s’ajoutent les discussions compliquées autour du statut juridique de ces intelligences artificielles.
Il est donc est aujourd’hui difficile à dire que l’IA détient les ressources nécessaires pour remplacer les actions de l’homme. Si la recherche est très avancée et les moyens importants, d’autres facteurs primordiaux tendent à montrer que l’action de l’homme est toujours essentiel à l’activité humaine.
Nos sources
- « Covid-19 : des robots serveurs dans les restaurants de Corée – ZDNet ». Consulté le 28 septembre 2021. https://www.zdnet.fr/actualites/covid-19-des-robots-serveurs-dans-les-restaurants-coreens-39908813.htm.
- EDIP, Alexandra. « Les robots, une chance pour l’homme ? » Capital.fr, 26 avril 2017. https://www.capital.fr/economie-politique/les-robots-une-chance-pour-l-homme-1223830.
- « Elon Musk présente un robot humanoïde qui utilisera les technologies des Tesla | Les Echos ». Consulté le 28 septembre 2021. https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/elon-musk-presente-un-robot-humanoide-qui-utilisera-les-technologies-de-tesla-1339985.
- « Intelligence artificielle : État de l’art et perspectives pour la France | entreprises.gouv.fr ». Consulté le 28 septembre 2021. https://www.entreprises.gouv.fr/fr/etudes-et-statistiques/dossiers-de-la-dge/intelligence-artificielle-etat-de-l-art-et-perspectives.
- « Intelligence artificielle : État de l’art et perspectives pour la France | entreprises.gouv.fr ». Consulté le 28 septembre 2021. https://www.entreprises.gouv.fr/fr/etudes-et-statistiques/dossiers-de-la-dge/intelligence-artificielle-etat-de-l-art-et-perspectives.
- « L’intelligence artificielle va remplacer 40% des métiers, mais pas l’empathie ». Consulté le 28 septembre 2021. https://www.lebigdata.fr/intelligence-artificielle-empathie.
- « Risks and limitations of artificial intelligence in business | nibusinessinfo.co.uk ». Consulté le 28 septembre 2021. https://www.nibusinessinfo.co.uk/content/risks-and-limitations-artificial-intelligence-business.
Article écrit par: Antoine DOUAY, Emma CALANDRA, Hugo GRATZMULLER, Juliette CANCELA, Nathan BLANC et Anne-Laure DENIS